L’arrivé de CORONA a apaisé les cœurs et soulagé les politiques face aux défis du système éducatif, car le bras de fer était visible et pérenne. Le gouvernement doit faire face aux défis liés à l’éducation. Il faudrait revoir l’organisation et le dynamisme de ce système, c’est un crie d’alarme à tenir en compte, il est vrai que le gouvernement exerce toute son autorité mais comprenons que le manque de formation des enseignants, le manque d’infrastructures, la mal gestion des examens et concours et un leadership inefficace sont entre autres des défis à relever. Le taux de réussite des examens nationaux qui ne cesse de décroitre est une preuve de détérioration continuelle de ce système. Il y a des stratégies et programmes qui fonctionnent ailleurs, la question est de savoir pourquoi pas en Guinée ?
Actuellement nous sommes confrontés au défi de l’intégration du numérique dans l’enseignement. Pendant que j’y pensais je suis tombé sur ce texte datant du 25 décembre 2018, envoyé par Dr Nikolaï. Je vous laisse le soin d’apprécier son analyse.
« La croissance de l’équipement scientifique et technique de l’humanité, des changements dramatiques dans la production, le traitement et la diffusion de l’information, la croissance démographique, les problèmes environnementaux conduit à une transformation radicale des rapports sociaux à travers le monde. De nouvelles technologies, de nouvelles idées, de nouvelles conditions politiques et de nouveaux défis internationaux doivent nous amener à penser à ces questions d’une façon dynamique.
Entre la formation des enseignants et l’efficacité de leur travail, il existe une relation directe, dans ce cas, vous devez utiliser des cadres en fonction de leur profession et compétence, à gérer l’orientation professionnelle et à créer un climat social et psychologique favorable à l’esprit d’équipe, ce qui reflète la nature et l’étendue des relations entre eux.
Il faut penser à des programmes plus vastes et pérennes, qui devront être soutenus par les pouvoirs publics et par les partenaires au développement, pour qualifier et rendre performant le système éducatif et l’adapter aux réalités économiques et sociales du pays.
Le système éducatif guinéen devrait permettre un renouvellement radical des technologies, accélérer le développement de l’innovation, l’adaptation rapide aux exigences et aux besoins d’un monde en évolution rapide.
Il est important que la société civile et le secteur privé participent activement à la mise en œuvre de ces activités.
Des forces de l’ordre plus proches de la population. Ils sont devenus des intermédiaires entre l’État et la société civile. Cela souligne la nécessité et l’importance d’une formation des forces de l’ordre.
Président de l’Académie Dr Nikolaï Alexandrovitch Starzhinskiy
Academie afro-eurasie des sciences naturelles Republique de guinee conakry »
Pour conclure je vais citer la Bible Proverbes 19 :2 Le manque de science n’est bon pour personne, Et celui qui précipite ses pas tombe dans le péché. Proverbes 24 :4 C’est par la science que les chambres se remplissent De tous les biens précieux et agréables. Proverbes 1 :7 La crainte de l’Eternel est le commencement de la science ; Les insensés méprisent la sagesse et l’instruction. Proverbes 1 :29 Parce qu’ils ont haï la science, Et qu’ils n’ont pas choisi la crainte de l’Eternel, Proverbes 1:30 Parce qu’ils n’ont point aimé mes conseils, Et qu’ils ont dédaigné toutes mes réprimandes, Proverbes 1:31 Ils se nourriront du fruit de leur voie, Et ils se rassasieront de leurs propres conseils, Proverbes 1:32 Car la résistance des stupides les tue, Et la sécurité des insensés les perd; Proverbes1:33 Mais celui qui m’écoute reposera avec assurance, Il vivra tranquille et sans craindre aucun mal. Proverbes 28 :2 Quand un pays est en révolte, les chefs sont nombreux ; Mais avec un homme qui a de l’intelligence et de la science, Le règne se prolonge. Proverbes 12 :1 Celui qui aime la correction aime la science ; Celui qui hait la réprimande est stupide. Ecclésiaste 2 :21 Car tel homme a travaillé avec sagesse et science et avec succès, et il laisse le produit de son travail à un homme qui ne s’en est point occupé. C’est encore là une vanité et un grand mal.
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